Saint-Urbain-Premier

Aperçu

Saint-Urbain-Premier est une municipalité située dans la région administrative de la Montérégie, au Québec. Elle fait partie de la Municipalité régionale de comté (MRC) de Beauharnois-Salaberry, jouant un rôle local dans ce territoire rural et semi-urbain. Cette municipalité contribue à la dynamique régionale par son cadre de vie paisible et son implication dans les affaires locales.

Géographiquement, Saint-Urbain-Premier se trouve dans le sud-ouest du Québec, plus précisément dans la MRC de Beauharnois-Salaberry. La région est caractérisée par un paysage de plaines agricoles et de zones boisées, avec une proximité relative au fleuve Saint-Laurent qui borde la Montérégie. La municipalité est entourée de plusieurs autres municipalités rurales, formant un maillage territorial typique de cette partie du Québec.

La population de Saint-Urbain-Premier est estimée à environ 1 360 habitants en 2025. Depuis les années 1980, la population a connu des fluctuations modérées, oscillant autour de 1 100 à 1 400 résidents. Cette stabilité relative témoigne d’un équilibre entre le maintien des familles locales et un certain renouvellement démographique, sans croissance explosive ni déclin marqué.

Sur le plan économique, Saint-Urbain-Premier présente un profil typique des petites municipalités agricoles de la Montérégie. L’économie locale repose principalement sur l’agriculture et les activités connexes, avec une administration municipale qui gère les services de proximité et le développement local. La municipalité est classée comme une municipalité locale, avec un faible niveau de densité de population, environ 25 habitants par kilomètre carré, ce qui souligne son caractère rural.

En matière de patrimoine et de culture, Saint-Urbain-Premier ne compte pas d’éléments patrimoniaux officiellement recensés dans les données disponibles. Toutefois, comme beaucoup de municipalités de la région, elle conserve un héritage lié à son histoire agricole et à son mode de vie traditionnel, qui se manifeste dans son architecture locale et ses événements communautaires.

L’histoire de Saint-Urbain-Premier s’inscrit dans le contexte plus large de la colonisation et du développement rural de la Montérégie. Bien que les détails précis de sa fondation ne soient pas explicitement fournis ici, la municipalité a évolué au fil des décennies en tant que communauté agricole stable, intégrée à la MRC de Beauharnois-Salaberry. Son nom évoque probablement une origine religieuse ou paroissiale, comme c’est souvent le cas dans cette région.

La vie municipale est actuellement dirigée par le maire Alain Brault, élu lors des élections municipales de 2021 avec une majorité de voix. Le conseil municipal est composé de plusieurs conseillers élus, certains ayant obtenu leur siège par acclamation. La gouvernance locale se concentre sur la gestion des services municipaux et le maintien de la qualité de vie des résidents, dans un cadre démocratique traditionnel.

En résumé, Saint-Urbain-Premier est une petite municipalité rurale de la Montérégie, caractérisée par une population stable, une économie agricole et une administration locale active. Son cadre géographique et son histoire en font une composante importante du tissu rural de la MRC de Beauharnois-Salaberry.

Chronologie

• 1987-12-31 — Croissance de la population de 30 (à 1 230) — +2.5%
• 1988-12-31 — Décroissance de la population de 79 (à 1 151) — -6.4%
• 1989-12-31 — Population stable à 1 151 — +0%
• 1990-12-31 — Population stable à 1 151 — +0%
• 1991-12-31 — Croissance de la population de 79 (à 1 230) — +6.9%
• 1992-12-31 — Population stable à 1 230 — +0%
• 1993-12-31 — Décroissance de la population de 85 (à 1 145) — -6.9%
• 1994-12-31 — Population stable à 1 145 — +0%
• 1995-12-31 — Croissance de la population de 38 (à 1 183) — +3.3%
• 1996-12-31 — Population stable à 1 183 — +0%
• 1997-12-31 — Population stable à 1 183 — +0%
• 1998-12-31 — Décroissance de la population de 4 (à 1 179) — -0.3%
• 1999-12-31 — Population stable à 1 179 — +0%
• 2000-12-31 — Croissance de la population de 63 (à 1 242) — +5.3%
• 2001-12-31 — Décroissance de la population de 29 (à 1 213) — -2.3%
• 2002-12-31 — Décroissance de la population de 49 (à 1 164) — -4%
• 2003-12-31 — Décroissance de la population de 6 (à 1 158) — -0.5%
• 2004-12-31 — Croissance de la population de 21 (à 1 179) — +1.8%
• 2005-12-31 — Croissance de la population de 18 (à 1 197) — +1.5%
• 2006-12-31 — Décroissance de la population de 19 (à 1 178) — -1.6%
• 2007-12-31 — Croissance de la population de 3 (à 1 181) — +0.3%
• 2008-12-31 — Décroissance de la population de 39 (à 1 142) — -3.3%
• 2009-12-31 — Décroissance de la population de 29 (à 1 113) — -2.5%
• 2010-12-31 — Décroissance de la population de 13 (à 1 100) — -1.2%
• 2011-12-31 — Croissance de la population de 21 (à 1 121) — +1.9%
• 2012-12-31 — Croissance de la population de 26 (à 1 147) — +2.3%
• 2013-12-31 — Croissance de la population de 40 (à 1 187) — +3.5%
• 2014-12-31 — Croissance de la population de 15 (à 1 202) — +1.3%
• 2015-12-31 — Croissance de la population de 41 (à 1 243) — +3.4%
• 2016-12-31 — Population stable à 1 243 — +0%
• 2017-11-01 — Élection municipale 2017 — maire : Réjean Beaulieu
• 2017-12-31 — Croissance de la population de 35 (à 1 278) — +2.8%
• 2018-12-31 — Croissance de la population de 27 (à 1 305) — +2.1%
• 2019-12-31 — Décroissance de la population de 28 (à 1 277) — -2.1%
• 2020-12-31 — Croissance de la population de 17 (à 1 294) — +1.3%
• 2021-11-01 — Élection municipale 2021 — maire : Alain Brault
• 2021-12-31 — Croissance de la population de 18 (à 1 312) — +1.4%
• 2022-12-31 — Croissance de la population de 66 (à 1 378) — +5%
• 2023-12-31 — Croissance de la population de 16 (à 1 394) — +1.2%
• 2024-12-31 — Décroissance de la population de 69 (à 1 325) — -4.9%
• 2025-12-31 — Croissance de la population de 35 (à 1 360) — +2.6%