Saint-René

Aperçu

Saint-René est une municipalité de type paroisse située dans la région administrative de la Chaudière-Appalaches, au Québec. Elle fait partie de la municipalité régionale de comté (MRC) de Beauce-Sartigan, qui regroupe plusieurs localités rurales et semi-rurales. Saint-René joue un rôle local dans le développement rural et la gestion des services municipaux pour ses résidents.

Géographiquement, Saint-René se trouve dans le sud-est du Québec, à une latitude d’environ 46 degrés nord et une longitude de 70,6 degrés ouest. Elle est intégrée au territoire de la MRC de Beauce-Sartigan, une région caractérisée par des paysages agricoles et forestiers, ainsi que par la proximité de la rivière Chaudière. Le territoire est marqué par un relief modéré, typique du plateau appalachien, offrant un cadre naturel propice aux activités agricoles et récréatives.

La population de Saint-René a connu une croissance notable au cours des dernières décennies. En 1986, elle comptait environ 570 habitants, un chiffre qui est resté relativement stable jusqu’au début des années 2000. Depuis, la municipalité a vu sa population augmenter régulièrement, atteignant un peu plus de 1 000 résidents en 2025. Cette tendance reflète un développement démographique soutenu, probablement lié à l’attractivité de la région pour les familles et les personnes recherchant un cadre de vie rural.

Sur le plan économique, Saint-René présente un profil typique des petites municipalités rurales de la Chaudière-Appalaches, avec une économie principalement axée sur l’agriculture, l’exploitation forestière et les petites entreprises locales. L’administration municipale assure la gestion des services publics et le développement local, sous la gouvernance de la MRC de Beauce-Sartigan. La densité de population est très faible, avec environ 16 habitants par kilomètre carré, ce qui souligne le caractère rural et peu urbanisé de la paroisse.

En matière de patrimoine et de culture, Saint-René ne dispose pas d’éléments patrimoniaux ou culturels majeurs recensés dans les données disponibles. Toutefois, comme beaucoup de paroisses de la région, elle est susceptible de valoriser son patrimoine religieux et rural à travers des événements communautaires et des traditions locales.

L’histoire de Saint-René s’inscrit dans le contexte plus large de la colonisation et du développement rural de la Beauce. La paroisse a été constituée officiellement en tant que municipalité locale, suivant une chronologie qui témoigne de son évolution progressive depuis une communauté agricole vers une municipalité structurée. Les détails historiques précis ne sont pas fournis, mais la région est connue pour son enracinement dans la culture beauceronne et son développement au cours du XIXe et XXe siècle.

La vie municipale de Saint-René est marquée par des élections locales régulières. Lors des dernières élections municipales de 2021, Jean-Guy Deblois a été élu maire avec environ 60 % des voix, succédant à Luc Paquet, qui était en poste en 2017. Le conseil municipal est composé de plusieurs conseillers élus, certains sans opposition. Cette gouvernance locale assure la gestion des affaires courantes et le développement de la communauté dans un cadre démocratique.

En résumé, Saint-René est une petite paroisse rurale de la Chaudière-Appalaches, caractérisée par une croissance démographique récente, une économie agricole traditionnelle et une administration municipale active sous la direction de son maire actuel, Jean-Guy Deblois. Son cadre géographique et son histoire s’inscrivent dans la dynamique régionale de la Beauce-Sartigan.

Chronologie

• 1987-12-31 — Croissance de la population de 10 (à 580) — +1.8%
• 1988-12-31 — Décroissance de la population de 51 (à 529) — -8.8%
• 1989-12-31 — Population stable à 529 — +0%
• 1990-12-31 — Population stable à 529 — +0%
• 1991-12-31 — Croissance de la population de 1 (à 530) — +0.2%
• 1992-12-31 — Population stable à 530 — +0%
• 1993-12-31 — Décroissance de la population de 8 (à 522) — -1.5%
• 1994-12-31 — Population stable à 522 — +0%
• 1995-12-31 — Croissance de la population de 10 (à 532) — +1.9%
• 1996-12-31 — Population stable à 532 — +0%
• 1997-12-31 — Population stable à 532 — +0%
• 1998-12-31 — Croissance de la population de 41 (à 573) — +7.7%
• 1999-12-31 — Population stable à 573 — +0%
• 2000-12-31 — Croissance de la population de 7 (à 580) — +1.2%
• 2001-12-31 — Croissance de la population de 9 (à 589) — +1.6%
• 2002-12-31 — Décroissance de la population de 3 (à 586) — -0.5%
• 2003-12-31 — Croissance de la population de 7 (à 593) — +1.2%
• 2004-12-31 — Décroissance de la population de 2 (à 591) — -0.3%
• 2005-12-31 — Croissance de la population de 20 (à 611) — +3.4%
• 2006-12-31 — Décroissance de la population de 10 (à 601) — -1.6%
• 2007-12-31 — Croissance de la population de 8 (à 609) — +1.3%
• 2008-12-31 — Croissance de la population de 9 (à 618) — +1.5%
• 2009-12-31 — Décroissance de la population de 15 (à 603) — -2.4%
• 2010-12-31 — Croissance de la population de 38 (à 641) — +6.3%
• 2011-12-31 — Croissance de la population de 21 (à 662) — +3.3%
• 2012-12-31 — Croissance de la population de 11 (à 673) — +1.7%
• 2013-12-31 — Croissance de la population de 12 (à 685) — +1.8%
• 2014-12-31 — Croissance de la population de 33 (à 718) — +4.8%
• 2015-12-31 — Croissance de la population de 15 (à 733) — +2.1%
• 2016-12-31 — Croissance de la population de 18 (à 751) — +2.5%
• 2017-11-01 — Élection municipale 2017 — maire : Luc Paquet
• 2017-12-31 — Croissance de la population de 24 (à 775) — +3.2%
• 2018-12-31 — Décroissance de la population de 4 (à 771) — -0.5%
• 2019-12-31 — Croissance de la population de 12 (à 783) — +1.6%
• 2020-12-31 — Croissance de la population de 16 (à 799) — +2%
• 2021-11-01 — Élection municipale 2021 — maire : Jean-Guy Deblois
• 2021-12-31 — Croissance de la population de 31 (à 830) — +3.9%
• 2022-12-31 — Croissance de la population de 54 (à 884) — +6.5%
• 2023-12-31 — Croissance de la population de 10 (à 894) — +1.1%
• 2024-12-31 — Croissance de la population de 93 (à 987) — +10.4%
• 2025-12-31 — Croissance de la population de 16 (à 1 003) — +1.6%