Saint-Marcellin

Aperçu

Saint-Marcellin est une municipalité de type paroisse située dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent, au Québec. Elle fait partie de la municipalité régionale de comté (MRC) de Rimouski-Neigette, jouant un rôle local au sein de ce territoire rural. Cette municipalité contribue à la dynamique régionale par son cadre de vie paisible et son implication dans les affaires locales.

Géographiquement, Saint-Marcellin se trouve dans l’est du Québec, à proximité de la ville de Rimouski. Le territoire est caractérisé par un paysage typique du Bas-Saint-Laurent, avec des reliefs modérés et une proximité relative au fleuve Saint-Laurent, qui influence le climat et l’environnement. La région est connue pour ses espaces naturels et son cadre rural, offrant un environnement propice à l’agriculture et aux activités de plein air.

La population de Saint-Marcellin est estimée à environ 437 habitants en 2025, selon les projections récentes. Depuis les années 1980, la municipalité a connu des fluctuations démographiques, avec un creux dans les années 1990 autour de 290 habitants, suivi d’une reprise progressive. Cette tendance à la hausse témoigne d’un regain d’attractivité ou d’une stabilisation démographique dans ce milieu rural.

Sur le plan économique, Saint-Marcellin présente un profil local typique des petites municipalités rurales du Bas-Saint-Laurent, où l’agriculture et les ressources naturelles jouent un rôle important. L’administration municipale est organisée selon le modèle local, avec un conseil municipal chargé de la gestion des affaires courantes et du développement du territoire. La municipalité est identifiée sous le code géographique 10025 et bénéficie d’une faible densité de population, environ 3,6 habitants par kilomètre carré, ce qui souligne son caractère rural et peu urbanisé.

En matière de patrimoine et de culture, Saint-Marcellin ne recense pas d’éléments patrimoniaux majeurs répertoriés officiellement. Toutefois, comme beaucoup de paroisses du Québec, elle conserve une identité culturelle liée à son histoire religieuse et communautaire, avec des traditions locales qui contribuent à la vie sociale et culturelle de ses habitants.

L’histoire de Saint-Marcellin s’inscrit dans le contexte plus large de la colonisation et du développement rural du Bas-Saint-Laurent. La municipalité s’est constituée autour de la paroisse éponyme, avec une évolution marquée par l’agriculture et l’établissement de familles sur le territoire. Bien que les détails historiques précis ne soient pas développés ici, la paroisse reflète le parcours typique des petites communautés rurales québécoises, avec des racines ancrées dans la vie paroissiale et la gestion locale.

La vie municipale est actuellement dirigée par la mairesse Julie Theriault, élue lors des élections municipales de 2021 avec une majorité de voix. Le conseil municipal comprend plusieurs conseillers élus, certains sans opposition, ce qui est courant dans les petites municipalités. Cette gouvernance locale vise à répondre aux besoins de la population tout en favorisant le développement harmonieux de la paroisse.

En résumé, Saint-Marcellin est une petite municipalité rurale du Bas-Saint-Laurent, caractérisée par une population modeste en croissance, une économie locale centrée sur l’agriculture, et une administration municipale active sous la direction de sa mairesse. Son cadre géographique et son histoire en font une communauté typique de la région, avec un mode de vie paisible et une identité locale bien établie.

Chronologie

• 1987-12-31 — Croissance de la population de 10 (à 390) — +2.6%
• 1988-12-31 — Décroissance de la population de 79 (à 311) — -20.3%
• 1989-12-31 — Population stable à 311 — +0%
• 1990-12-31 — Population stable à 311 — +0%
• 1991-12-31 — Décroissance de la population de 11 (à 300) — -3.5%
• 1992-12-31 — Population stable à 300 — +0%
• 1993-12-31 — Décroissance de la population de 10 (à 290) — -3.3%
• 1994-12-31 — Population stable à 290 — +0%
• 1995-12-31 — Croissance de la population de 14 (à 304) — +4.8%
• 1996-12-31 — Population stable à 304 — +0%
• 1997-12-31 — Population stable à 304 — +0%
• 1998-12-31 — Croissance de la population de 9 (à 313) — +3%
• 1999-12-31 — Population stable à 313 — +0%
• 2000-12-31 — Croissance de la population de 2 (à 315) — +0.6%
• 2001-12-31 — Croissance de la population de 6 (à 321) — +1.9%
• 2002-12-31 — Croissance de la population de 2 (à 323) — +0.6%
• 2003-12-31 — Croissance de la population de 10 (à 333) — +3.1%
• 2004-12-31 — Croissance de la population de 17 (à 350) — +5.1%
• 2005-12-31 — Décroissance de la population de 1 (à 349) — -0.3%
• 2006-12-31 — Croissance de la population de 9 (à 358) — +2.6%
• 2007-12-31 — Décroissance de la population de 2 (à 356) — -0.6%
• 2008-12-31 — Croissance de la population de 11 (à 367) — +3.1%
• 2009-12-31 — Décroissance de la population de 27 (à 340) — -7.4%
• 2010-12-31 — Croissance de la population de 4 (à 344) — +1.2%
• 2011-12-31 — Décroissance de la population de 7 (à 337) — -2%
• 2012-12-31 — Croissance de la population de 10 (à 347) — +3%
• 2013-12-31 — Décroissance de la population de 2 (à 345) — -0.6%
• 2014-12-31 — Décroissance de la population de 8 (à 337) — -2.3%
• 2015-12-31 — Croissance de la population de 21 (à 358) — +6.2%
• 2016-12-31 — Décroissance de la population de 10 (à 348) — -2.8%
• 2017-11-01 — Élection municipale 2017 — maire : Paul-Émile Lévesque
• 2017-12-31 — Décroissance de la population de 6 (à 342) — -1.7%
• 2018-12-31 — Décroissance de la population de 8 (à 334) — -2.3%
• 2019-12-31 — Croissance de la population de 6 (à 340) — +1.8%
• 2020-12-31 — Croissance de la population de 5 (à 345) — +1.5%
• 2021-11-01 — Élection municipale 2021 — maire : Julie Theriault
• 2021-12-31 — Croissance de la population de 12 (à 357) — +3.5%
• 2022-12-31 — Croissance de la population de 19 (à 376) — +5.3%
• 2023-12-31 — Décroissance de la population de 2 (à 374) — -0.5%
• 2024-12-31 — Croissance de la population de 40 (à 414) — +10.7%
• 2025-12-31 — Croissance de la population de 23 (à 437) — +5.6%